Un rapport et des soupçons : Le terrible constat de la Banque Mondiale sur l’Algérie

Quelle mouche a piqué ces experts de l’illustre Banque Mondiale qui viennent de publier un rapport sur la santé de l’économie algérienne ?
Le choix des termes utilisés dans le document de cette institution laisse perplexes et révèle un excès assez flagrant quant au positionnement peu objectif de ceux qui ont rédigé le rapport . l’Algérie serait économiquement en danger si l’on devait se fier à cette étude qui vient en totale contradiction avec le tout récent rapport du FMI dans lequel il y était fait mention de signes encourageants et de bons points accordés à l’économie algérienne.
Deux institutions de Bretton woods en totale opposition ! Pourtant il est connu que c’est bien la signature et l’avis du FMI qui priment et qui font autorité en la matière .
Objectivement l’économie algérienne n’est pas dans le vert . Pour autant, aucun paramètre ne peut la classer dans le rouge. Quant à évoquer un séisme comme le suggère la Banque Mondiale, il y a là une évidente lecture orientée pour la simple raison que l’état des lieux qui prévaut actuellement en Algérie et qui ne peut être pire que celui qu’elle a connu ces dernières années .
Le dernier rapport de la Banque mondiale sur l’Algérie, est décrié de toutes parts.
Il, « dénote une forte tendance à voir l’Algérie en noir », écrit en effet l’Agence officielle.
Pour l’APS, dans un rapport sans aucune valeur, qui n’a rien de financier, visiblement rédigé sur instigation de certaines parties connues pour leurs hostilités à l’Algérie, la Banque mondiale s’en prend à l’Algérie.
Elle s’est même arrogée, toute honte bue, un droit de prédire un séisme qui dévasterait la capitale. De quoi créer et alimenter une psychose au sein de la population.
Ce rapport qui a occulté toutes les bonnes performances économiques et sociales de l’Algérie, a osé inventer des chiffres sur une «prétendue pauvreté en Algérie», au moment où tous les indicateurs de pauvreté sont au vert.
Et pourtant, la pauvreté a une adresse dans la région. Mais, la BM n’en parle pas, il n’est pas question de rapporter des vérités et donner les vrais chiffres de la pauvreté au Maroc. Il faut protéger ce royaume du mal et de la misère chuchoté par les patrons de l’institution de Bretton Woods.
La Banque mondiale est sortie de son rôle et a abandonné ses missions, le temps de rédiger un rapport mensonger sur le pays, elle a pris l’outrecuidante liberté de statuer sur la situation de l’Algérie qui connaît, pourtant, une embellie dans tous les domaines, y compris dans son taux de croissance.
L’Algérie condamne et rejette dans le fond et dans la forme cette immixtion flagrante de la Banque mondiale. Il s’agit d’une vaine tentative de déstabilisation à la soft power d’un pays qui avance mais qui dérange. La Banque mondiale avait annoncé en 2019 que l’Algérie allait emprunter de l’argent, alors que la situation financière du pays connaît un redressement spectaculaire au moment où les protégés de cette institution financière et de ses lobbies sombraient dans de très graves crises socio-économiques.
APS / ABN