City concède le nul: Mahrez a fait banquette, comme prévu!

 

Dans notre précédente édition concernant notre international vedette Riad Mahrez, nous avons livré une analyse qui s’est non seulement avérée mais nous avons dispensé, a l’inverse de nombreux quotidiens sportifs un remède,  nous nous sommes engagés, nous nous sommes mouillés, nous avons eu raison. Mahrez est entré en jeu à la 85’.

Attention nous n’avons pas la science infuse, ni de prétentions divinatoires : de l’analyse simplement dénuée de passion, du pragmatisme, de la lecture.

Les concurrents directs de Mahrez se sont distingués lors des matchs précédents, cela n’a pas loupé, Guardiola n’a pas aligné le surdoué au pied gauche de velours.

Au cours de cette rencontre, qui s’est soldée par un match nul 1 partout, nous avons noté comme à son habitude une belle prestation de Bernardo Sylva un concurrent direct : du lourd, du très lourd ce Sylva,  quant a l’autre (Sylva David) toujours égal a lui-même assumant pleinement son rôle de  meneur relayeur.

City est progressivement monté en puissance, mais sans concrétiser les multiples occasions notamment par Aguero ;  par la faute d’un  RUI Patricio (l’ancien portier félin du Sporting et ex coéquipier de Slimani) qui l’a  réduit au mutisme.

En seconde période, Ederson le brésilien des wolves a raté une occasion toute faite devant le gardien mancunien à la 56’, ce n’était que partie remise puisque une minute plus tard, Willy Boly sur un centre de Mouthinho,( l’ex meneur de jeu de Monaco) a donné l’avantage pour les wolves sur un but entaché d’une main.

Des lors, Manchester city s’est attelé a rattraper le score, et la 69’ minute sur un centre de Gundogan, le défenseur français Laporte vint fusiller de la tête le gardien mancunien : 1 partout.

77’ Leroy Sané  entre en jeu en lieu et place de Gundogan pour les Citizen, auparavant Gabriel Jésus avait remplacé l’intenable Bernardo Sylva, par contre pas de Mahrez a l’horizon.

Les wolves guère impressionnés par l’armada offensive des Citizen  jouent crânement leur chance et répondent du tac au tac à city.

85’, enfin Riyad Mahrez fait son apparition de nouveau soumis a l’épreuve du temps de jeu  puisque rentré en toute fin de match : une virgule elastico ratée coté gauche, peu importe,  nous sentions quand même que Riyad pouvait changer le cours du jeu si Arteta (adjoint du coach) n’avait pas murmuré a l’oreille de Guardiola.

Nous avons aussi remarqué une forme d’égoïsme qui consiste à oublier Mahrez même démarqué : «  chacun pour sa pomme »

Le petit argentin a certes du talent (Aguero) mais n’égalera jamais celui singulier de Mahrez toutes proportions gardées.

Notre ordonnance et nos préconisations restent les mêmes, si notre international ne se comporte pas en prédateur, il subira la prédation. En début de saison,  avec des joueurs stars venus de différents horizons transparait un certain égoïsme. Mahrez, lui, fait dans l’altruisme a l’inverse de ce qu’il pourrait produire et cela le dessert plutôt que cela ne le sert.

Cela n’est pas facile certes, nous ne sommes pas sur le terrain avec lui, mais il faut qu’il se comporte en boss : n’est-il pas le transfert le plus cher des Citizen cette saison ? Il est impératif alors qu’il gagne en temps de jeu, voire qu’il soit indiscutable !

                                                   De Paris RAFIK D

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