Premières pluies, premiers dégats

Alger,  la capitale, une zone d’ombre en quelques heures ?

Et pourtant les bulletins d’alerte avaient été diffusés à temps.

Les experiences des années précédentes n’ont apparemment point suffi pour actionner les systémes de veillle.

Des responsabilités au niveau de l’administration locale sont encore évidentes dans ce cas flagrant de non gestion de la cité.
Alger , à l’instar  d’autres Wilayas d’Algérie  se réveille ce  mardi matin avec les mêmes images de désolation,  à l’arrivée des premières averses de la saison .

Dans les communes de Sidi M’hamed, Bir Mourad Rais, Gué de Constantine, Chéraga et Hussein Dey on fait état  de routes coupées, tunnels inondés, des quartiers envahis par les eaux et des canalisation d’eau détériorées ce qui a provoqué des coupures en eau potable, des tronçons entiers ont été coupés, une situation qui a fait d’Alger une capitale isolée et un trafic routier bloqué.

A Mila un enfant de 8 ans a été emporté par les eaux d’un oued, à Djijel le même spectacle.

Comment mettre fin à ce désastre au sein des grandes villes tandis que depuis des mois le gouvernement est en action sur le terrain, des efforts acharnés sont déployés pour mettre fin aux signes de misère et améliorer les conditions de vie des habitants dans 15 000 zones d’ombre du pays?

comment peut-on réussir à les éliminer alors qu’on n’arrive même pas à gérer le moindre souci des grandes villes ?

C’est la politique du bricolage déjà en héritage et qui continue toujours à freiner ce projet d’une Algérie nouvelle.

Nadi. K

 

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