Ce n’était pas vraiment le Pérou: La France assure mais sans la forme!

S’il est des matchs qui ont une consonance  toute particulière pour les algériens, ce sont bien ceux de  l’équipe de France.

Apres Zidane et celle de 1998, le chapitre Benzema s’est ouvert pour vite se refermer dans la douleur. L’intérêt donc de nos algériens s’est focalisé sur Nabil Fekir se demandant s’il serait de la partie bien que celui-ci ait opté pour la sélection tricolore pour son plus grand bien soyons honnête !

La France du je t’aime moi non plus et celle qui peut se prévaloir de cette expression aujourd’hui le douloureux passé resurgit forcement des que l’affaire Benzema refait surface ou même si Fekir ne serait pas sur la feuille de match. Ainsi, les passions se déchainent  et portent au firmament ce jeu, ce sport, le seul, l’unique, l’universel, l’intemporel.

Football quand tu nous tiens !

Le coup d’envoi est donné dans une ambiance sud américaine, un premier quart d’heure en faveur des péruviens en terme de possession de balle, la France, quant a elle, a mis du temps a installer son jeu se procurant quelques occasions mais rien de méchant !

A la 30’ minute, occasion franche péruvienne : un drible sous forme de contrôle orienté qui mit Umtiti dans le vent et si ce n’est l’intervention du gardien français le match aurait pris une autre tournure.

Il faudra attendre  la 35’ minute pour assister enfin a l’ouverture du score, une faute de relance d’un défenseur péruvien exploitée et initiée par Paul Pogba qui crée le décalage sur Giroud qui place un tir  repoussé par le gardien trouvant le jeune Mbappé a la réception  1à 0  pour la France. Il a fallu attendre la fin de la première mi- temps pour calmer les ardeurs péruvienne qui n’ont pas démérité, mais ont cédé petit a petit des parts de marché en terme de possession de balle grâce en partie a un Ngolo Kanté machine a laver et un Pogba malgré tout décisif.

La seconde période est parti tel que la première, sous une domination outrageuse des péruviens, un jeu alléchant à la sud américaine : des gestes techniques, une lucarne sortante 50’ mais toujours cette même ritournelle une inefficacité, un manque de réalisme qui serait presque une caractéristique inscrite dans les gènes de cette équipe du Pérou. 66’ le Pérou se fait de plus en plus pressant les français voyaient rarement le ballon mais une domination stérile.  L’entrée de Nabil Fekir à la 80’ a été quand même bénéfique dans la mesure où il sait garder le ballon et que beaucoup de fautes ont été commises sur lui.  Qualification en poche la France nous montrera peut être un meilleur visage face aux grosses cylindrée.

De Paris Rafik D

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