Avenir de la presse papier: Le ministre de la Communication, tient un autre «discours» .

Contrairement à Ammar Belhimer qui présageait la « fin de la presse papier », Mohamed Bouslimani, le nouveau ministre de la communication a exprimé ce mercredi, son vœu de « bâtir une presse forte qui puise sa force de sa crédibilité dans le traitement des questions soulevées en tout professionnalisme et en toute objectivité», saluant à ce propos «la forte volonté affichée par les directeurs de journaux de s’acquitter du rôle qui leur est dévolu».

Lors d’une rencontre ce mercredi, avec les directeurs de nombre de quotidiens privés, le ministre de la Communication a écouté, à l’occasion, les préoccupations professionnelles et réglementaires auxquelles se heurte la presse privée, en sus de leurs conditions de travail au regard des changements économiques et technologiques actuels.

Il a, en outre, écouté «les principales aspirations des participants à cette rencontre et les efforts que pourraient consentir les pouvoirs publics afin d’aplanir tous les obstacles impactant les conditions de travail de la presse indépendante, et ce pour lui redonner un nouveau souffle».

Dans ce sillage, M. Bouslimani a exprimé «son entière disponibilité» à revoir les principales préoccupations des différents titres nationaux, «en concertation continue avec tous les acteurs du secteur».

Cette réunion, note-t-on, s’inscrit dans le cadre d’une série de rencontres que s’attèle à organiser le ministre de la Communication avec les institutions sous tutelle et l’ensemble des professionnels et partenaires sociaux du secteur.

R.N

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