Malaise diplomatique entre le Maroc et l’entité Sioniste : Une affaire de moeurs qui secoue Rabat…

Mission et…soumission. Sexe, détournements et perversion sous couvert de diplomatie .

La représentation diplomatique israélienne à Rabat est au coeur d’un gros scandale lié à des affaires de moeurs, selon ce qu’a révélé Kan,  la chaîne officielle de l’entité sioniste il y a quelques jours.

De hauts responsables politiques ainsi que des diplomates israéliens sont soupçonnés de harcèlement sexuel contre des femmes marocaines et de détournement de précieux cadeaux .

Selon le même média , Tel Aviv a dépêché une forte délégation du ministère des affaires étrangères conduite par l’inspecteur général de ce département qui s’est rendue à Rabat pour enquêter sur cette affaire qui embarrasse gravement les plus hautes autorités des deux parties.

Côté Marocain par contre , aucune réaction officielle. Omerta et total embarras.

Dans le viseur des enquêteurs ,il y a au premier rang , un haut fonctionnaire en poste dans cette représentation sur lequel pèsent des soupçons «d’exploitation de femmes locales et d’atteinte aux bonnes mœurs».

L’enquête devra aussi s’intéresser au conflit qui oppose le chef de mission de la représentation diplomatique , David Govrin, au responsable de sécurité de la dite structure.

La chaîne de télévision a évoqué le précieux cadeau offert par la cour royale du Makhzen à l’occasion de la célébration de l’anniversaire de la fondation de l’entité sioniste. Cadeau qui n’a pas été déclaré par les responsables du bureau de Rabat.

L’ampleur que prend ce scandale inquiète au plus haut niveau d’autant que Tel Aviv considère « hautement stratégiques et importantes » ses relations avec le Maroc.

La chaîne de télé parle de « catastrophe à Rabat». Le malaise s’est installé entre les deux pays depuis l’éclatement du scandale qui intervient dans un contexte particulier.

La reprise des relations diplomatiques entre les deux parties a été actée le 10 décembre 2020. Jusqu’ici il n’ y a pas encore d’ambassade au Maroc, comme le rappelle le même média qui ajoute que «l’accord de paix » n’a pas encore été signé.

R.P

 

 

 

 

 

 

 

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