Ils sont installés y compris dans les quartiers résidentiels: Les riverains se plaignent des points de ventes sauvages des moutons

Un marché sauvage de moutons, destinés au sacrifice de l’aid El-ADha, à proximité du boulevard Cervantes, en contrehaut de la rue Belouizdad (Belcourt) provoque la grogne des riverains.

Ils se plaignent de l’accumulation de fumier et des odeurs nauséabondes. Les brins de fourrages jonchent le sol. Les doléances des résidents du quartier, aux responsables communaux sont restées lettres mortes, à leur grand dam.

Le cas n’est certes pas isolé. Dans quasiment chaque quartier de la capitale, un garage, une cour ou un magasin de plein pied sont reconvertis occasionnellement en un enclos ou des ovins sont proposés aux clients potentiels.

Pourtant , le ministère de lAgriculture et du développement rural a agréé 665 points de vente de moutons à l’échelle nationale, dont 130 aménagés dans la capitale. Ces endroits sont théoriquement encadrés par des vétérinaires et réunissent les conditions de prévention contre la propagation du coronavirus entre vendeurs, acheteurs et équipes sanitaires.

Anais B

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