Cette valeur du Dinar qui nous renvoie à nos échecs

Nul ne peut éradiquer le marché parallèle de la devise en Algérie.
Et nul, est celui qui prétend pouvoir le faire.
Fût- il ministre ou expert.

Pour la simple raison que seul le développement réel de l’économie, dans tous ses segments , y compris le tourisme , la santé, et même la culture demeure la seule clé susceptible de démocratiser l’accès aux larges besoins de la population. Besoins qu’on ne peut se procurer en…dinars. Bien être, bonheur, médicaments, soins, livres etc autant d’éléments essentiels que ni l’Algérie d’aujourd’hui ni celle de demain ne peut produire.

Prétendre éradiquer le marché de la devise revient à dire que l’on éradique surtout nos besoins. Et cela équivaut à dire aussi que notre pays est déjà dans l’autosuffisance.

Soyez réalistes Messieurs. Tant que le dinar n’est pas boosté par une certaine demande qui émanerait d’ un flux important et soutenu de touristes étrangers et tant que le produit algérien n’occupe pas les marchés internationaux sous la signature made in DZ, notre dinar demeurera une monnaie de petits quartiers. Et le besoin des algériens en Euros et dollars ne sera que plus grand.

Revenons sur terre. Celle de nos échecs.

Karim. A

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