Souffrance…interdite de publication.

Ah! Si les journalistes algériens songeaient un jour à faire…leur hirak contre ceux qui dirigent ces pseudo-rédactions, dites indépendantes…

On verra alors la vraie facette de ces directeurs et de ces red-chefs , qui chantent la démocratie dans leurs sombres écrits… on verra aussi que la liberté d’expression n’est qu’un chapitre d’une fiction entretenue par ces misérables parvenus, éparpillés telles des feuilles pourries dans ces sal(l) es de rédactions .

Ceux là même qui attaquent le systeme, le pouvoir et ses administrations au nom d’une certaine liberté, sont pire que des pinochets avec leur dictature tournée à huis clos contre ces journalistes dont le seul tort consistait à rêver de la noblesse d’un métier.

Face aux responsables de ces journaux , en matière de despotisme et d’atteintes à la liberté d’expression, le pouvoir en place est un petit apprenti bien tendre .

Un jour les vérités devront être dites. Sur ces agissements contre les journalistes victimes de leurs propres responsables , bien souvent des déplumés qui ont gagné ces postes à la faveur de cette magie de la brosse et du bluff.

Un jour ce hirak devra bien naître….

Karim.A

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