Parler de prétendues restrictions aux libertés en Algérie, procède de tentatives de déstabilisation

Le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune a affirmé que les prétendues restrictions aux libertés et aux médias en Algérie avancées à chaque fois par certaines parties « sont intimement liées aux tentatives de déstabilisation » du pays.

Dans une interview accordée à la chaîne d’information qatarie « Al Jazeera », diffusée mercredi, le Président Tebboune a indiqué que les prétendues restrictions aux libertés avancées, à chaque fois, par certaines parties « sont intimement liées aux tentatives de déstabilisation de l’Algérie », ciblée « tous les quatre ou cinq ans par ce qui est communément connu sous l’appellation de +soft power+, à travers l’exploitation d’individus, soutenus depuis l’étranger ».

Le président de la République a rappelé que l’Algérie comptait « 8500 journalistes, 180 quotidiens et 20 chaînes de télévision privées, en sus d’autres médias », soutenant que l’Etat « n’a jamais imposé de restrictions à leur encontre ».

Relevant que ces médias « critiquent l’Etat », le Chef de l’Etat a indiqué que « les critiques sont les bienvenues à travers la proposition d’idées alternatives et de plans économiques différents de ceux adoptés par le gouvernement ».

Cependant, « les insultes et la défense des intérêts étrangers ainsi que la perception de fonds étrangers est chose inacceptable », a souligné le Président Tebboune.

Par ailleurs, le président de la République a critiqué les rapports erronés de l’Organisation Amnesty international contre l’Algérie, appelant cette ONG à diriger ses efforts pour dévoiler les exactions commises contre les enfants palestiniens emprisonnés dans les geôles de l’entité sioniste.

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