Paris, la place de la république s’impatiente: elle ordonne aussi, elle ne quémande plus!

Les dimanches parisiens répondent naturellement aux vendredis algériens et la place de la république à celles de toutes les places algériennes des 48 wilayas.
Les revendications et aspirations sont identiques, les slogans à peu de choses prés teintés biens souvent de pointes humoristiques caractérisent, aussi cette empreinte typiquement algérienne.
Nos communautés établies à l’étranger ne cessent de démontrer combien le sort de leur pays leur importe et combien il en va d’un espoir et d’un souffle de liberté au sens propre du terme, oh combien salvateur.
Conscient que les moments vécus sont d’indélébiles pages inscrites dans des encyclopédies, et que pour la postérité chacun de nous autres apporte sa contribution, mais seule la sagesse noircirait les pages de gloire telle la racine de Gibran qui la dédaignerait.
« La racine est une fleur qui dédaigne la gloire » Khalil Gibran
Il est sans dire que ça tiraille de tous les cotés, de l’intox à foison, et surtout l’on fait dans la récupération un véritable fonds de commerce, de la pollution un pseudo assainissement et chacun outre les partis d’oppositions y va de son couplet : de machin DZ et a tous les DZ en passant par Mr Rachid Nekkaz. L’on ne veut pas faire dans la méritocratie et dans l’avancement les pions de l’opportunisme, mais il est clair qu’a ce jeu la, on essaye d’entrainer un peuple qui ne fait pas dans les appartenances, ni plus jamais dans celui du culte de la personnalité ; il est libre le peuple, il se détermine par lui-même et une seule et unique visée le meut : celle d’une algerie libre et démocratique il l’a assez répété.
Pour cela, il refuse les brocanteurs, les bricoleurs, les énergies de substitutions intéressées
Mr Nekkaz dont on reconnait un certain courage mais dont on ne valide ni une approbation complète ni un désaveu et les DZ improvisés et intronisés par de sombres donneurs d’ordres et tous ceux qui feraient mieux de mener un combat dans le sens de la marche populaire et de s’arrêter de temps à autre pour écouter. Ecouter le seul donneur d’ordre : Monsieur le peuple
D’un article portant un numéro à des sous menus 7 et 8 par exemple, provenant d’une constitution flexible a volonté le peuple espère un dénouement des plus rapides, il en a ras la casquette des gros lapins sortis d’un chapeau, bien sur toujours silmiyaquement mais impatiemment.
Force est de constater que la temporisation est le moteur de l’anarchie, même si le peuple en est conscient, ce facteur de déstabilisation néfaste ne peut que servir l’inertie et la tergiversation et bien entendu les stratégies de repli. C’est cela l’Algérie nouvelle si elle venait a éclore et ce, dans les plus brefs délais.
Pour le moment le héros du peuple ne s’appelle ni Zeroual, ni Nekkaz, ni Gaid Salah ni rab el Dzair ni Amar Bouzouar. Le héros du peuple s’appelle le peuple.
Vaillant est celui qui veut servir son pays sans ostentation mais dans la quête de cette Algérie nouvelle, Propre dans tous les sens du terme.
Rafik D