la colère noire de rebrab :  » Notre problème est politique. Il faut que ça s’arrête ! »

On n’a jamais vu Rebrab piquer une colère d’une telle intensité.  » le problème est politique. Il est politique ! Ce n est pas un simple bureaucrate de l’administration qui nous bloque. C’est politique  » crie le patron de cevital ce dimanche matin à tizi ouzou où il était en visite pour prospecter des assiettes de terrain dans la zone industrielle de cette ville .

Le plus grand industriel du pays était entouré de jeunes de la région venus lui exposer leur préoccupation liée surtout au chômage. Il leur répond qu’ il est en mesure de créer les emplois attendus  » à une condition . À une seule condition : qu’ on nous laisse travailler ! » s’est il écrié sur un ton grave qui ne cachait pas sa colère contre l’ordre établi, le blocage dont il fait l’objet . Et d’ajouter d’une voix aussi forte que celle qui sort d’un homme déterminé à se battre  » le phénomène des harragas qui meurent en mer doit cesser . Il faut que ça s’arrête ! » Rebrab a laissé libre cours à son ressenti. Sa douleur pour le pays. Pour ces jeunes venus lui demander d’investir .

Colère noire d’un homme connu pour sa réserve et le discours diplomatique manifesté. Il donne cette impression de ne plus être en mesure de supporter davantage. Ce dimanche matin, rebrab a procédé à la pose de la première pierre de l’académie du club de la jsk totalement financée par ses soins .

ABN

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