Espagne–Russie : Le piège russe a fonctionné !
Début de match, les initiatives sont clairement espagnoles, un Hisco comme a son habitude à la baguette, à la direction des opérations à l’élaboration, au début de la chaine de fabrication. Un aimant pour tous le ballons errants, mais à force de jouer a la construction et au tissage au détriment de la percussion et de la verticalité on finit par tomber dans son propre piège.
13’ faute sur Nacho, coup de pied arrêté de Jordi Alba, Ramos se charge de pousser le pied d’Iniasevitch un CSC 1à 0 pour l’Espagne.
Les espagnols font courir, possède le ballon, le cache par moment mais pas de profondeur, de la patience dirait-on, de la construction mais frappée d’une obsolescence agaçante. Heureusement, que le Zidane espagnol Hisco régale de temps a autres, la possession est clairement espagnole. Les Russes courent, courent derrière le ballon, un ballon presque invisible. A la 40’ dans une phase défensive Gérard piquet se prend le ballon dans la main un penalty accordé aux russes plus que contestable car la balle avait dépassé piquet et touché le revers de sa main sous la remise de l’attaquant russe, c’est la ou l’accord avec le consultant, très averti par ailleurs Omar da Fonseca n’est pas en phase avec le notre. Un penalty transformé par l’eternel Dziouba. Des lors, s’installa un jeu dans la latéralité limite agaçant malgré la rentrée de maestro Iniesta a la place de Sylva poste pour poste.
Score de parité a la fin du temps réglementaire, un match finalement assez tiède qui n’a pas tenu ses promesses. Dans les temps additionnels, il était clair que les russes inferieurs techniquement attendaient la fin des 2 fois 15mn en constituant une muraille russe cette fois- ci
Les tirs aux buts finalement donnèrent raison au pays organisateur, l’Espagne éliminée du mondial, encore un grand qui s’en va.
De Paris R.Djilali
