Election de l’Algérie à deux organes de l’Ecosoc à l’ONU

L’Algérie a été élue, par acclamation, et pour un mandat de quatre ans à compter du 1er janvier 2023, au Comité chargé des Organisations Non Gouvernementales et à la Commission de la Science et de la Technique au Service du Développement de l’ECOSOC et ce, lors des élections tenues mercredi, à New York par le Conseil Economique et Social de l’ONU pour la constitution de nouveaux membres de ces deux organes.

Ces élections constituent la consécration des efforts de l’Algérie sous la conduite du Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, au sein des fora diplomatiques et représentent une marque de confiance des Etats membres de l’ONU en la pertinence de son action dans le renforcement de la mise en œuvre des politiques et des orientations formulées par l’Assemblée générale et par le Conseil Economique et Social des Nations Unies.

Elles mettent, également en évidence la crédibilité des efforts entrepris par l’Algérie pour le soutien et l’inclusion des ONG en tant qu’acteur important pour le développement, ainsi que la promotion de la recherche scientifique et du développement technologique.

Etabli en 1946 par le Conseil Economique et Social des Nations Unies (ECOSOC), le Comité chargé des ONG est un des Comités permanents du Conseil chargé de traiter les demandes des ONG visant une accréditation auprès du Conseil économique et social en relation avec le système des droits humains de l’ONU.

Outre l’Algérie, 18 pays siègeront au sein du Comité des Organisations non gouvernementales : les Etats Unis d’Amérique, le Royaume Uni, la Turquie, le Chili, le Cameroun, l’Erythrée, le Liberia, le Zimbabwe, le Bahreïn, la Chine, l’Inde, le Pakistan, l’Arménie, la Géorgie le Costa Rica, Cuba, et le Nicaragua.

L’Algérie a été, également élue à la Commission de la Science et de la Technique au service du Développement.
Cette Commission est un organe subsidiaire du Conseil Economique et Social qui traite des questions relatives à la science, la technologie et le développement. Elle organise chaque année un forum intergouvernemental pour examiner les politiques et les recommandations à mettre en œuvre pour la promotion de la science et de la technologie pour la mise en œuvre des objectifs de développement durable à l’horizon 2030.
Cette Commission entretient dans ses travaux des liens étroits avec d’autres organes des Nations Unies.

S’agissant des nouveaux membres à la Commission de la Science et de la Technique au Service du Développement, il s’agit outre de l’Algérie, la Turquie, le Royaume Uni et les Etats Unis, la Colombie, Cuba, l’Equateur, l’Egypte, le Botswana, Djibouti, le Rwanda, la Tanzanie, la Chine, l’Inde, Oman, le Tadjikistan, l’Ouzbékistan, la Hongrie, la Lettonie, la Roumanie, Bélize.

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