Dur d’être ministre avec…Tebboune

Ces ministres qui doivent sûrement…transpirer.

Un souffle long semble de rigueur pour les membres du gouvernement sollicités une fois par semaine autour du président de la république.

Un exercice devenu incontournable pour nos ministres engagés plus par leurs responsabilités que par les priviléges liés au poste.

Sous Tebboune, le poids d’un ministre , au double sens du terme, physique et statutaire, perd en mesure mais gagne sûrement en charge de travail.

La ligne imposée avec ces réunions marathons à raison d’un conseil de ministres par semaine recommande forcément de la fraicheur et du souffle pour l’ensemble des membres de l’executif.

Un rythme de travail que le pays n’a pas connu depuis de longues années et qui redonne à la fonction de ministre cette dimension de responsable soumis à obligation et tenu par des objectifs dont il ne peut se soustraire.

Au delà des attentes de résultats, chaque membre du gouvernement est ainsi interpellé dans une sorte d’audit et jaugé autour de ses prédispositions à être à la hauteur de la feuille de route avec exigence totale d’efficacité.

Jamais des ministres de la république n’auront vécu une telle intensité de travail. Un tel niveau de charges et avec autant de pression.

Il s’en degagerait même cette impression qui laisserait à penser qu’il ne ferait pas vraiment bon d’être ministre sous la présidence de Tebboune.

Une cadence d’enfer que Abdelmadjid Tebboune s’emploie à faire respecter en embarquant son équipe dans cette discipline quasi militaire dans un contexte ‘d’extrême urgence. À tous les niveaux…

K.A

 

 

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