Belhimer , Drareni et la polémique autour d’un procés: Le mot de la fin revient à la cour

Ce que laisse entendre le ministère de la communication dans l’affaire Khaled Drareni dont le verdict inattendu a soulevé une indignation sans precedent, dans le pays et au niveau international, suggère deux choses:

La première étant celle qui consiste à comprendre que Drareni aurait  » prêté le flanc » .

Sa qualité de correspondant ou de collaborateur de medias etrangers n’ayant pas été reconnue par les autorités compétentes, le ministère indiquant que n’ayant rien reçu dans ce sens , Drareni ne pouvait en conséquence avoir qualité de journaliste. Du moins au regard de la loi. D’où cette formulation de Belhimer qui fait savoir que « Drareni n’avait pas de carte de journaliste ».

Le ministère de Amar Belhimer note également qu’après vérifications dans ses services , Drareni n’a à aucun moment fait valoir sa qualité de journaliste .

Ce qui laisse à penser selon l’approche du département de la communication  que Khaled Drareni, qui a deja travaillé pour la television publique algerienne , la radio nationale et d’autes organes activait, depuis, dans la clandestinité.

Aucune demande d’accréditation n’est parvenue au ministère,soutient le communiqué de Belhimer.

En second lieu, le ministre qui se refuse de commenter une décision de justice , invite néanmoins ceux qui crient à l’injustice de garder espoir. Il ne le dit pas explicitement, bien entendu.

Il rappelle qu’il s’agit d’un jugement pouvant faire l’objet d’un appel  auprès de la cour et suggère à ce titre, peut être à demi mots que la surprise pourrait être au rendez vous.

ABN

 

 

 

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