Alors que le FMI applaudit l’élan de l’économie algérienne : la Banque Mondiale fait dans la controverse

Dans un rapport vraisemblablement commandé, la Banque mondiale est sortie de son cadre d’institution financière internationale pour se transformer en un outil de manipulation et de propagande, en distillant des informations tendancieuses et sournoises sur la situation économique en Algérie, allant toute honte bue jusqu’ à prédire « un séisme « dévastateur et des perspectives obscures pour le pays.

Dans son dernier rapport, la Banque mondiale qui est supposée être une institution  chargée entre autres d’élaborer des rapports financiers et économiques ainsi que des analyses objectives sur la base d’indicateurs fiables et crédibles, s’en est pris de manière maladroite et gratuite à l’Algérie où elle prédit un « séisme économique», compte tenu, croit-elle savoir, de la « vulnérabilité « du pays en termes d’exportations. Rien que ça.

Les rédacteurs de ce rapport, auraient pu «s’inspirer » des chiffres, du constat du Fonds monétaire international (FMI).

Les pratiques insidieuses de la Banque mondiale, contrastent en effet, avec le dernier rapport du FMI qui a relevé des progrès et des avancées dans l’économie du pays.

Le FMI , avait en effet félicité, en octobre dernier, les autorités algériennes pour « leur stratégie de relance de la croissance et de réduction de la dépendance de l’économie vis-à-vis des hydrocarbures, tout en partageant les priorités de réforme identifiées pour aider à la transition du pays vers un modèle de croissance plus inclusif et durable ».

Le Conseil d’administration du FMI a également salué «le nouveau plan d’action du Gouvernement, tout en partageant les priorités de réforme identifiées pour aider à la transition de l’Algérie vers un modèle de croissance plus inclusif et durable», a précisé le ministère.
Le Conseil du FMI a noté également qu’ « en dépit de ce contexte de pandémie, une reprise progressive est en cours en Algérie, même si quelques vulnérabilités persistent encore en raison des répercussions de la COVID-19 et de la prépondérance des hydrocarbures dans la structure de l’économie algérienne».

Tout en précisant qu’un «mix de politiques calibrées permettrait de soutenir la stabilité macroéconomique et promouvoir une croissance durable, résiliente et inclusive», le Conseil du FMI a mis l’accent notamment sur la nécessité de poursuivre les efforts de la consolidation budgétaire en adaptant son rythme et sa composition à l’évolution de la pandémie et aux conditions économiques nationales afin de protéger les populations les plus vulnérables.

Saluant également les efforts récents des autorités algériennes pour moderniser la gestion budgétaire et améliorer l’efficacité du secteur public, les administrateurs du FMI ont encouragé le Gouvernement à diversifier davantage les sources de financement du budget.

Manifestement, il y a un complot visant à nuire à la stabilité du pays à travers ce genre de rapports négatifs et nuisibles, fondés sur des indicateurs et des arguments non sourcés, publiés par des influenceurs et des anonymes sur les réseaux sociaux, sachant que ces derniers sont financés et parrainés par des parties n’hésitant pas à déverser toute leur haine sur l’Algérie, l’objectif étant de fausser l’opinion publique.

Alors que plusieurs pays ont vu leurs économies s’effondrer, l’Algérie a réussi à résister à cette situation et à rester debout, n’en déplaise à la Banque mondiale et à de nombreux détracteurs, aussi bien à l’intérieur du pays qu’à l’étranger.
Aussi, il est important de préciser que l’Algérie qui est étonnée des prétendus chiffres avancés par la BM, n’arrivera jamais et en aucun cas au volume d’importation de 50 milliards de dollars.

Y.O

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