2 belles affiches: Un Maroc égal à l’Espagne et un Iran qui bouscule le Portugal

Un match très plaisant que nous ont livré les 2 formations ; l’Espagne comme a leur habitude avec ce jeu chatoyant de redoublement de passes tout en déviation,  le Maroc a  l‘inverse de ses prestations précédentes a montré qu’il pouvait en jouant au ballon au sens propre du terme, qu’il pouvait rivaliser avec les meilleurs formations du monde.

Par deux fois les marocains ont pris l’avantage dans ce match a rebondissement la première sur une récupération de Boutaib d’un ballon mal négocié par Iniesta et s’en alla battre De Gea 1à 0 pour le Maroc.

Sur une remise de ce même Iniesta comme pour se faire justice à la 19’, Hisco se chargea de rétablir l’équilibre  1 partout.

 A la 54’ Amrabat ce feu follet a failli être l’auteur d’un exploit sur une frappe sur puissante coup de pied légèrement extérieur (du pied) qui fut malheureusement ou bien heureusement renvoyée par la lucarne droite de Gea,  une merveille de frappe !

Le monopole du ballon étant du domaine privatif espagnol, les marocains procédaient en contre, jusqu’à ce que le coach, potentiel futur sélectionneur de l’équipe d’algerie Hervé Renard remplaça Boutaib par EN –Nesyri, coaching gagnant car sur un corner a la 81’ ce dernier donnera l’avantage aux lions de l’atlas 2à 1.

 Alors que l’on croyait le match plié en faveur des marocains, sur une centre  tendu de Carbajal cote droit, I Aspas fit un clin d’œil à Madjer lui rendant hommage en exécutant, le geste, son geste, une Madjer qui ramena le score à 2 partout.

Dans l’autre rencontre Portugal- Iran qui s’est soldé par un match nul 1 partout, le premier but fut l’œuvre  de l’ancien coéquipier de Brahimi à porto, Ricardo Quaresma d’un sublime extérieur du pied droit à la 45’ qui mystifia le gardien iranien. Les iraniens ont égalisé la 93’ par Ansarifard sur penalty, mais les carottes étaient cuites et bien cuites. Notons tout de même que Ronaldo a raté un penalty après recours à l’arbitrage vidéo alors qu’il pouvait doubler la mise à la 53’.

 

De Paris Rafik D

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